Life's not a punishment - Jovana

Date d'inscription : 06/10/2015

Jovana Rhiannon Ilweyn

Oh, she's a little runaway,

nom(s) Ilweyn. prénom(s) Jovana Rhiannon âge 34 ans. date et lieu de naissance 31 Décembre 1920, Bedford. nationalité, origine Nationalité américaine, origines américaines. occupation Tiens une boutique d'instruments de musique. orientation sexuelle Hétérosexuelle. statut civil Fraichement en couple. niveau de vie Plutôt aisé. caractère
Si l’on devait décrire Jovana en un seul mot au tout premier abord, on dira d’elle qu’elle est souriante. En effet, son sourire ne quitte presque jamais son visage, même lorsqu’elle est parfois seule. C’est une femme simple et plutôt bon vivant, qui ne se prend jamais la tête et qui cherchera toujours à satisfaire son entourage. De nature bout-en-train, elle est drôle, blagueuse, taquine et ne tient parfois pas en place, mais c’est ce qui, d’un côté, la rend aussi adorable et attachante. C’est une personne qui ne cherche qu’à apprécier son entourage, de nature amicale et affectueuse, et qui aime venir en aide aux personnes en difficultés. Elle s’attache très facilement aux autres, et de nature protectrice il lui arrive parfois de prendre l’attitude d’une mère poule envers ses proches, qu’ils soient plus jeunes ou bien plus âgés qu’elle.
Néanmoins, Jovana est une femme franche dans ses paroles, et elle n’hésitera pas à dire ce qu’elle pense. Plutôt susceptible concernant diverses choses, il ne vaut mieux pas s’en prendre à un sujet sensible la concernant, autrement elle risque de très vite monter sur ses grands chevaux. Mais même si cela peut impressionner au départ, elle est incapable de demeurer énervée contre une personne, et à la place elle préfèrera s’éloigner pour craquer un peu plus loin, et généralement ça se finit en sanglots. C’est aussi ainsi qu’elle a la mauvaise tendance à pardonner beaucoup trop facilement, et est bien trop naïve à son gout, ce qui fait qu’elle se laisse souvent avoir concernant certaines choses.
Aussi, elle est pourvue d’une fragilité mentale assez élevée, mais elle la cache aux yeux des autres : Lorsqu’elle ne va pas bien, elle évite de se montrer et se renferme sur elle même. Les coups de blues sont fréquents chez elle, mais elle ne veut pas les dévoiler aux autres sous peine de paraître faible et vulnérable à leurs yeux. Et pourtant, dieu sait qu’elle en a besoin. Mais elle est têtue, et elle ne se confie pas facilement aux autres.
groupe Blue Suede Shoes crédit Vava : Karsimys / Gifs : Fanpop

{little things important to know}
La musique n'est pas la seule passion de Jovana, elle pratique aussi l'équitation et elle possède d'ailleurs deux chevaux, Kewanee et Cayenne - Le magasin lui a été légué par son père, ce dernier étant dans l'incapacité de s'en occuper désormais, à cause de son handicap - Jovana est fille unique, et c'est son père qui l'a élevée seul, sa mère étant partie peu après sa naissance, ce dont elle lui en veut beaucoup - Elle est concernée par la lutte féministe et veut elle aussi du changement, mais n'est pas du genre à le montrer sauf quand on lui demande son avis. Elle défend sa cause tout en demeurant discrète là dessus - Jo' a toujours rêvé de fonder sa propre famille, et adorerais avoir des enfants, néanmoins elle a un peu peur de ne pas savoir comment s'y prendre avec eux étant donné qu'elle a elle-même manqué d'une mère - Elle adore les araignées - Elle a une cicatrice au niveau de la lèvre supérieure, datant d'un vieil accident de cheval - Jo' est insomniaque, mais elle parvient beaucoup mieux à dormir lorsque quelqu'un est présent avec elle, plus rassurée ainsi - Elle a une peur bleue des orages - Elle raffole du chocolat, et pourrait en manger à longueur de journée et ce sans prendre un gramme - Elle joue du piano

pseudo, prénom Karsimys / Sarah. âge Bientôt 18 ans. Life's not a punishment - Jovana 237671944

comment t'as trouvé le forum Via Bazzart. comment tu le trouves J'aime beaucoup son originalité ! Life's not a punishment - Jovana 3812894580

des suggestions ou autres commentaires Rien à dire pour le moment. avatar Lana Parrilla Life's not a punishment - Jovana 2520779078

Code:: <pris>lana parrilla</pris> jovana ilweyn

Date d'inscription : 06/10/2015

everyone has a story

I hate you, I love you

Etre née en pleine ville n’est pas vraiment une aubaine pour une fillette. Qui plus est lorsque cette dernière se fait abandonner par sa mère peu après sa naissance. Mère qui a filé du jour au lendemain, sans laisser aucune trace derrière elle. C’était quelque chose de très mal vu à l’époque, mais cela ne l’avait pas empêché d’agir ainsi. De mon côté, lorsque j’ai compris ce fait, je lui en ai toujours voulu. Mais je n’ai pas eu une enfance malheureuse, loin de là. Mon père s’occupait parfaitement bien de moi, et nous étions très complices tous les deux. Il m’a toujours avoué qu’au début, ça avait été un peu dur. J’étais plutôt difficile, et pleurait quasiment tout le temps. Mais ça s’était arrangé avec le temps, et en grandissant j’étais devenue une fillette adorable.
Il n’y a pas vraiment de choses à dire sur mon enfance. J’étais heureuse, j’aidais mon père au magasin, j’allais à l’école et je n’avais pas besoin d’une mère tant l’amour que me donnait mon père était grand. Et ce, même si j’étais souvent victime de jérémiades à l’école. Mais ça ne me dérangeait pas plus que ça, je n’étais pas du genre à me préoccuper de ce genre de choses.

Adolescente, j’ai arrêté les études pour pouvoir consacré mon temps au magasin de mon père. Je l’aidais et l’assistais, et je prenais sa place quand il n’était pas là. Cela faisait toujours bizarre à certains clients de voir une femme à ce poste, mais personnellement cela ne me faisait ni chaud ni froid. Ma place n’était pas derrière un fourneau ou bien en compagnie d’un balai, et mon père était totalement d’accord avec ce genre de réflexion. Plus tard, j’appris d’ailleurs que je tirais ce comportement de ma mère, ce qui m’avait fait haussé les épaules avec nonchalance. Je ne voulais pas entendre parler d’elle.
Le magasin marchait assez bien, et je lui ai consacré une bonne partie de la fin de mon adolescence. Je ne sortais pas souvent, et donc n’avait pas réellement l’occasion de rencontrer de nouvelles personnes et notamment de me mettre à chercher un homme susceptible de me plaire. En même temps, la plupart des clients du magasin avaient toujours ce même état d’esprit visant à ce que la place de la femme était à la maison, et celle des hommes était au boulot.

Puis, la guerre est arrivée, et mon père a du partir pour l’Europe. J’ai mal vécu son départ, car cela signifiait que je devais m’occuper seule du magasin, et je ne m’en sentais pas capable. Alors peu avant de partir, il m’a informé qu’il avait demandé à l’une de ses connaissances de venir me filer un coup de main. J’avais de suite été un peu plus rassurée, et l’avait laissé partir non pas sans une boule au ventre, de peur de le perdre dans l’atrocité de cette guerre qui avait déjà décimé bon nombre de combattants.
Le lendemain de son départ, je m’étais rendue au magasin et avait entamé ma première journée de travail seule. L’homme que mon père avait « engagé » était censé arriver dans la matinée. Je m’étais déjà attendue à un homme dans la tranche d’âge de mon paternel, un homme du genre bon vivant qui mangerait du clown à chaque petit déjeuner. Mais jamais à quelqu’un non seulement d’environ mon âge, mais aussi d’insupportable. Eden, de son petit nom, faisait parti du type de personnes que j’aurais bien aimé m’encadrer dans un mur. Ses remarques mysogines et sa maladresse m’agacèrent très vite, et j’en voulais énormément à mon père de m’avoir refilé un homme pareil. Sauf que quelque chose n’allait pas. Car j’aurais très bien pu le virer. Mais je ne voulais pas, et n’ai jamais osé le faire. Pourquoi, ça, je ne l’ai pas su de suite.
Je subissais alors chaque jour les remarques d’Eden. Je le haïssais, mais au fond je m’y étais attachée. Finalement, il fallait bien avouer que ça mettait un peu de vie, bien que négativement, mais aussi il n’y avait plus autant d’animosité que les premières fois. C’était certes très agaçant, mais je m’amusais à répliquer, ce qui commençait à le faire changer d’avis, visiblement. Il lui arrivait de rire à mes propos, tandis que mon insolence prenait souvent le dessus à ces moments là. Puis, au lieu d’être des propos jugés presque insultants, ça en était devenu une forme de taquinerie.

Lorsque la guerre s’est finie, j’ai attendu avec grande impatience le retour de mon père. Bien qu’au fond j’avais extrêmement peur de ne plus jamais le revoir, qu’il soit mort dans l’une de ces batailles, j’avais le pressentiment que ce n’était pas le cas. Les jours ont défilés, les convois de soldats sont arrivés mais aucune trace de mon paternel.
Puis, alors que je me trouvais au magasin en compagnie d’Eden, une lettre est arrivée. Ma première réaction avait été très mauvaise, car généralement, ce genre de papiers n’apportait jamais de bonne nouvelle. Mais je me suis retenue de flancher, car Eden était là et je ne souhaitais pas qu’il me voie dans un état de faiblesse. J’ai alors ouvert la lettre et l’ai parcouru du regard une première fois, avant de la lire. Il n’était pas décédé. Mais gravement blessé, et devait rester à l’hôpital pendant encore quelques mois. Plutôt rassurée par le fait qu’il soit encore vivant, j’en avais complètement oublié qu’Eden devait partir deux jours plus tard. Cette fois, je me sentais prête à faire fonctionner le magasin seule, alors après lui avoir appris la nouvelle, je l’ai informé qu’il pouvait mettre fin à son « contrat » et s’en aller comme il avait prévu de le faire. Mais sa réaction ne fut pas celle que j’avais attendue. D’après lui –et ce n’était pas vraiment étonnant venant de lui-, une femme telle que moi était incapable de gérer le magasin seule. Alors il a commencé à faire le nécessaire pour rester. Comme toujours, ce genre de remarques m’avait agacée, mais cette fois je l’avais aussi vue d’un tout autre œil, et cela m’avait alors fait sourire.

Les mois filaient, et je recevais régulièrement des nouvelles de mon père. Son état s’améliorait de jours en jours, mais il n’était toujours pas prêt à rejoindre les États Unis. Finalement, il ne resta non pas quelques mois, mais bien deux ans en Europe. Il avait perdu l’usage de ses jambes, et les procédures pour le faire revenir en Amérique étaient extrêmement longues à mettre en place, et je m’y affairais tous les jours malgré tout. Eden quant à lui ne m’a jamais lâchée durant cette période, et nous commencions à développer une forme d’amitié au fur et à mesure que le temps passait. Nos disputes quotidiennes avaient pris la forme de chamailleries, et je commençais à m’attacher à lui bien plus que ce que je ne l’aurais pensé.

Lorsque mon père rentra enfin à la maison, je l’avais accueilli comme il se le devait, m’étant cependant retenue de lui sauter au cou étant donné de son handicap. En fauteuil roulant, il n’avait pas encore l’habitude de se déplacer avec, et avait un peu de mal. Je l’ai aidé, et ai écouté ses récits de combattant d’une oreille attentive bien qu’horrifiée en vue de toutes les horreurs qu’il avait vécu. Puis, il m’informa par la suite qu’il ne pouvait plus s’occuper du magasin comme il le faisait avant, et décida alors de me le léguer, ce qui m’avait énormément touchée. Evidemment j’avais accepté. Mais je m’étais aussi mise à penser à Eden. Maintenant que mon père était rentré une bonne fois pour toute, il allait très certainement devoir s’en aller, ce qui, je dois l’avouer, m’avait provoqué un désagréable pincement au cœur.

En effet, au même moment, son propre patriarche l’avait contacté pour lui demander de la main d’œuvre au niveau de l’entreprise familiale située à quelques kilomètres de Bedford. Il avait alors été obligé de s’en aller, et notre dernier contact fut une étreinte presque plus qu’amicale, ce qui m’avait plutôt surprise. Car vu comme cela avait débuté entre nous, jamais je ne l’aurais jugé capable d’une telle chose envers moi, mais je m’étais apparemment bien trompée.

J’ai alors passé plusieurs années à gérer seule le magasin, en compagnie de mon père avec qui d’anciens habitués prenaient plaisir à discuter. En parlant d’eux, je commençais à avoir l’agréable impression que les mentalités commençaient à changer en Amérique en cette période d’Après Guerre. De plus en plus de femmes commençaient à revendiquer leurs droits, d’autres à se mettre à travailler, ce qui me rendait fière de ce changement. Je me sentais concernée, après tout. Mais tout ceci me faisait penser à Eden. Quelques années auparavant, je n’aurais jamais pensé qu’il me manquerait autant. On s’écrivait quelques fois, et nous avions toujours gardé contact. L’entreprise dont il s’occupait reprenait du poil de la bête, et de mon côté, contrairement à ses dires, je parvenais à m’occuper seule du magasin.

Et finalement, il est revenu. Un soir, alors que je rangeais les derniers instruments ayant été déplacés et mettait un peu d’ordre dans le magasin censé être fermé, j’ai entendu le tintement de la cloche du dessus de la porte et me suis retournée dans l’immédiat. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je l’ai vu entrer dans la pièce. Sans réfléchir, j’ai affiché un immense sourire et lui ai alors sauté au cou, abandonnant ce que je tenais jusque là dans mes mains. Ce fut une histoire sans paroles l’espace de ces quelques minutes. Il n’aura suffit que d’un regard de plus pour que nos souffles s’emmêlent et que nos lèvres se rencontrent.

Je ne suis pas médium, et je ne peux pas prédire le futur. Mais néanmoins, je sais que vu comment cela semble parti, que ce soit concernant Eden mais aussi le changement de mentalité des européens, il sera très certainement fait de belles choses.

Date d'inscription : 24/09/2015

BIENVENUUUUUUUUUE Life's not a punishment - Jovana 2953828572

Life's not a punishment - Jovana 4076774886

Life's not a punishment - Jovana 2640746120

Life's not a punishment - Jovana 1597048636

Life's not a punishment - Jovana 1587263944

Lana est un super choix! Life's not a punishment - Jovana 3902271355

Life's not a punishment - Jovana 376828274

Life's not a punishment - Jovana 2231419450

Bon courage pour ta fiche et si tu as des questions n'hésites pas Life's not a punishment - Jovana 2436682605

Life's not a punishment - Jovana 3698518033

Date d'inscription : 06/10/2015

Merci beaucoup pour cet accueil, ça fait trop plaisir ! Life's not a punishment - Jovana 3351586817

Je n'hésiterais pas, encore merci. Life's not a punishment - Jovana 3812894580

Life's not a punishment - Jovana 1577318689

Date d'inscription : 21/02/2015

félicitations! tu es validé(e)! j'ai adoré lire ta fiche
Félicitations! Tu fais partie de la famille de Jailhouse Rock! . Tu as fais l'étape la plus longue et à présent à toi les joies du rp et du fun! . A présent tu peux aller faire ta fiche de liens car c'est beaucoup plus cool d'avoir des relations et de ne pas rester seul(e) dans son coin . Tu peux aussi faire des scénarios ou des pré-liens si jamais tu recherches quelque chose de spécifique . Et après tu peux aller flooder et te balader partout! Aller sur sur la chatbox, te marrer avec les gens! Bref, t'amuser sur un air de Chuck Berry ou d'Elvis Presley ou encore commémorer la mémoire de James Dean en allant voir son ultime film!

Contenu sponsorisé